La police d’Etat secrète (la Gestapo) mit au point et publia dès 1934 une politique à l’égard des Francs-Maçons et des émigrants
Le promoteur le plus acharné de cette politique était Alfred Rosenberg (1893-1946), qui devait devenir l’idéologue principal du régime nazi.
Il puisa son inspiration dans les thèses de Heise et de Ludendorff, ainsi que dans l’ouvrage « Les Sages de Sion ».
C’est en 1921 que paraît son ouvrage intitulé « Le crime de la Franc-Maçonnerie ».
Il enchaîna en 1930 avec « Le mythe du XXème siècle », qui devint une des bases du credo de la pensée nazie. Hitler se laissa aller à l’encontre de la Franc-Maçonnerie dans son ouvrage « Mein Kampf ».
Et l’on retrouve ici à nouveau la ligne de pensée de Ludendorff lorsqu’il écrit : « Le juif a trouvé dans une Maçonnerie complètement décadente un instrument de premier choix pour combattre, mais également pour dissimuler ses buts. Il y ajouta l’exclusion des francs-maçons de la NSDAP (Parti national socialiste des travailleurs allemands).
Et, très tôt déjà, des mouvements d’agitation populaire furent déclenchés. Dans sa « Lettre d’instruction aux dirigeants de mars 1931, il écrivait : « L’hostilité des paysans à l’égard des francs-maçons en tant que valets du judaïsme doit être stimulée jusqu’à l’élimination totale de ceux-ci.
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