top of page
Tout (1445)
Posts de blog (132)
Posts du forum (1295)
Articles (8)
Autres pages (10)
Filtrer par
Type
Catégorie
1295 résultats trouvés avec une recherche vide
- Benalla, frère trois poingsDans ATUALIDADE·11 de outubro de 2019« Devant les parlementaires du groupe LREM, le chef de l’Etat, après avoir déclaré qu’il était le seul responsable dans l’affaire Benalla, a cru devoir ajouter : « Ce n’est pas mon amant. » Ce qui a valu son ascension rapide au chargé de mission élyséen, ce n’est donc pas son appartenance à quelque lobby gay, comme il en […] » #Benalla #Frèretroispoings0012
- Anche questa è anche massoneria nel lato oscuro del cervello,......Dans ATUALIDADE·6 de abril de 2019Anche questa è anche massoneria nel lato oscuro del cervello,...... Quando François-Marie Arouet nella sua istallazione come M.V. della loggia parigina le sette sorelle disse: ""Dio ci ha dato la vita, ma sta a noi darci alla bella vita""""" e ci fu un applauso che duro una clessidra. #Anche #Massoneria0015
- Um automóvel maçónico imaginativo?Dans ATUALIDADE·6 de abril de 2019Um automóvel maçónico imaginativo? #Cartoon #utomóvel #Maçónico0054
- Avinu MalkeinuDans HISTÓRIA·10 de outubro de 2019Avinu Malkeinu [Translation] Hear our prayer We have sinned before Thee Have compassion upon us and upon our children Help us bring an end to pestilence, war, and famine Cause all hate and oppression to vanish from the earth Inscribe us for blessing in the Book Of Life Let the new year be a good year for us Avinu malkeinu sh'ma kolenu Avinu malkeinu chatanu l'faneycha Avinu malkeinu alkenu chamol aleynu V'al olaleynu v'tapenu Avinu malkeinu Kaleh dever v'cherev v'raav mealeynu Avinu malkeinu kalehchol tsar Umastin mealeynu Avinu malkeinu Avinu malkeinu Kotvenu b'sefer chayim tovim Avinu malkeinu chadesh aleynu Chadesh a leynu shanah tovah Sh'ma kolenu Sh'ma kolenu Sh'ma kolenu Avinu malkeinu Avinu malkeinu Chadesh a leynu Shanah tovah Avinu malkeinu Sh'ma kolenu Sh'ma kolenu Sh'ma kolenu Sh'ma kolenu. #AvinuMalkeinu009
- Ma Chérie - Fashion - Moda - A nossa "cocadamalagueta" está sempre fascinanteDans MA CHÉRIE·13 de setembro de 2020Ma Chérie - Fashion - Moda - A nossa "cocadamalagueta" está sempre fascinante. Concorda? #Moda #Fashion00113
- Franc-Maçonnerie: - Constitutions d’AndersonDans ATUALIDADE·11 de julho de 2020Franc-Maçonnerie - Constitutions d’Anderson " Initialement intitulées Constitution, Histoire, Lois, Obligations, Ordonnances, Règlements et Usages de la Très Respectable Confrérie des Francs-maçons acceptés. Le 27 décembre 1721, le duc de Montagu a nommé 14 frères pour examiner le Manuscrit du frère Anderson et faire rapport. Le 25 mars 1722, le Comité des 14 a déclaré avoir lu le livre du frère Anderson, c'est-à-dire l'Histoire, les Charges, les Règlements et le Chant des Maîtres, et après quelques amendements l'ont approuvé, sur lequel la Loge a voulu que le Grand Maître ordonne qu'il soit imprimé. Desaguliers en a écrit la préface, George Payne en a rédigé le règlement (Encyclopédie de la Franc-Maçonnerie d’Albert G. Mackey). Les Constitutions dites d’Anderson ont été publiées, à Londres, en 1723 pour leur première édition (à noter que le pasteur Anderson n’apparaît ni dans la signature du texte ni sur le frontispice des Constitutions). Le graveur du frontispice de l’édition de 1723 (John Pine), les deux coéditeurs (John Senex au Globe et John Hooke à la felur de Lys en face de l’église St. Dustan’s Church) et l’imprimeur (William Hunter) sont tous francs-maçons. Elles constituent une source de connaissance de la Franc-Maçonnerie spéculative originale basée sur la tradition, les règlements et usages des anciennes corporations des maçons opératifs. On peut voir dans ce texte plusieurs parties. Une première section historique (rédigée par le révérend James Anderson) de la Franc-Maçonnerie depuis Adam jusqu’au XVIIIe siècle qui devait être lue à chaque nouvel initié ; les propos d’Anderson concernant l’histoire de la Maçonnerie ne sont un travail ni original, ni scientifique. Les sources dérivent des Old Charges (les Anciens Devoirs) qui contiennent les abondantes informations mythologiques qu’il donne. Mais il faut lire cette partie comme une glorification de la Franc-Maçonnerie et une manière de donner à la Grande Loge un passé illustre et mémorable. Une deuxième partie que l’on peut qualifier de dogmatique et disciplinaire. Les Devoirs commencent par la phrase connue de tous les francs-maçons : «Un maçon est obligé par sa dépendance d’obéir à la loi morale; et s’il comprend correctement l’Art, il ne sera jamais un athée stupide ni un irréligieux libertin». Cette partie comprend deux sections exposant, d’une part les obligations morales des maçons de six sortes (1- de Dieu et de la religion, 2- de l’État, 3- des Loges, 4- de la hiérarchie maçonnique, 5- de la règlementation du travail, 5- de la conduite), d’autre part les règlements généraux (élaborés par Georges Payne en 1720 au nombre de 39 et reproduits par Anderson) auxquels ils sont soumis. Enfin une série de 4 chants avec parole et musique suivant qu’ils doivent être exécutés par les maîtres, les surveillants, les compagnons ou les apprentis. En fait, le texte semble avoir été écrit par Jean-Théophile Désaguliers, sur l’ordre du duc de Wharton, pour être dédié au duc de Montaigu. L’influence de Newton et des savants de la Royal Socitey est avérée : exclusion des questions politiques et religieuses, recherche d’un accord sur une religion et une morale naturelles et universelles, tolérance limitée par l’exclusion du libertinage et de l’athéisme, volonté de contribuer au bien commun et à la paix civile, valorisation des savoirs (des sciences en particulier). En 1738 Anderson fut obligé de faire rééditer les Constitutions en raison d’une copie de son travail qui fut illégalement mise en circulation en 1735 par un certain William Smith. La nouvelle édition de 1738 est deux fois plus grande que la première, notamment en raison de rajouts dans la partie historique. En 1767, 1784 et 1858 de nouvelles éditions du Livre des Constitutions furent imprimées. Les Constitutions d’Anderson peuvent être considérées comme une refondation lithocentrique et salomonienne de la Maçonnerie antérieure.", in, Solange Sudarskis #FrancMaçonnerie #Constitutions #Anderson0093
- Judaísmo - A surpreendente história da família RuahDans Turismo e Património Judaico·31 de julho de 2020Judaísmo - A surpreendente história da família Ruah «Um fotógrafo de Reis, vários médicos, um líder da comunidade israelita em Lisboa, uma Grã-Mestre da Maçonaria Feminina, uma actriz de sucesso. Esta é a história de uma família de judeus que se fixou em Portugal após a abolição da Inquisição, em 1821. Notícias Magazine São uma das famílias mais influentes da comunidade judaica nacional. O médico Samuel Ruah costumava ser chamado à residência de Salazar e o seu primo Joshua foi o clínico de Álvaro Cunhal. O clã conta ainda com a atriz Daniela e com uma ex-grã-mestra da maçonaria feminina. Mas há muitas outras personagens fascinantes: um grande fotógrafo e um vendedor de pedras preciosas. QUANDO, COM 17 ANOS, a sua família se instalou em Faro, no Algarve, deixando para trás a vida que tinham em Marrocos, não perdeu tempo. Começou logo a negociar em cortiça, que ia comprar ao Alentejo. Movimentava-se numa mula, na qual levava sempre alguns tachos pendurados. Era um religioso conservador e cumpria à risca as regras da comunidade judaica a que pertencia: as panelas serviam para cozinhar a sua comida segundo o ritual judaico (kosher), que só permite ingerir carne de animais ruminantes e abatidos de certa forma e obriga a eliminar o máximo de sangue colocando-a em água durante algumas horas. O jeito para o negócio levou-o depois a viajar para os EUA, para vender azeite e cortiça. Aos 20 anos, em dezembro de 1859, ele, Moysés Bento Ruah, apaixonou-se e casou com Ester Abitbol.», in, https://www.noticiasmagazine.pt/ Veja a notícia completa, AQUI #Judaísmo #Judeu #Família #Ruah0010
- Freemason - Brother James Cash PenneyDans HISTÓRIA·29 de outubro de 2020Freemason - Brother James Cash Penney In 1902, Brother James Cash Penney opened his first department store in Kemmerer, Wyoming. When the business went public in 1927, Penney gave all his store managers shares, and later included all his employees in corporate profit-sharing. At the time of his death in 1971, J.C. Penney’s counted more than 1600 stores in the chain. Bro. Penney was also known as a major philanthropist, supporting and founding several charitable endeavors in his life. He was a member of Wasatch Lodge No. 1, Salt Lake City, Utah. #Freemason #Brother #James #Cash #Penney0026
- Maçonaria - Uma entrada num Templo MaçónicoDans HISTÓRIA·23 de junho de 2018Maçonaria - Uma entrada num Templo Maçónico #Templo #Grão #Mestre0019
- Maçonaria - Colar e avental do Rito Escocês Antigo e Aceite (imagem)Dans HISTÓRIA·23 de junho de 2018Maçonaria - Colar e avental do Rito Escocês Antigo e Aceite (imagem) #Colares #Aventais0041
- La vida de Sócrates tiene un capítulo importante: su mujerDans HISTÓRIA·19 de maio de 2021Nada sabríamos de Jantipa si no se hubiera casado con Sócrates, boda que tendría lugar en torno al 418 a.C. Sócrates era bastante mayor que ella: Jantipa no tendría más de veinte años cuando se casó. Tuvo varios hijos de Sócrates, el más conocido se llamó Lamprocles. Sócrates ejemplifica la contradicción existente entre dos condiciones: la de filósofo y la de hombre casado, según escribió Nietzsche. Jantipa era famosa por su malhumor y por los escándalos a los que sometía a Sócrates. Cuando tras insultarlo e injuriarlo le arrojó un jarro con agua a la cabeza, Sócrates, acostumbrado a aquella conducta, dijo a los amigos que presenciaban la escena: “Es natural que tras los truenos venga la lluvia”. Jenofonte la describe como de carácter endiablado y Platón la consideraba paradigma de la esposa chillona e insoportable. Pero, a pesar de su carácter insoportable, era una mujer inteligente y la única persona que ganó una discusión a Sócrates. Éste llega a decirle a Alcibíades: “Sin ella no soy nada, la necesito para vivir”. Claro que cuando Alcibíades le preguntó cómo soportaba sus quejas e intemperancias, el filósofo respondió: “A todo nos hacemos con el tiempo; te acostumbras al ruido de una polea de un pozo, y al graznido de los gansos”. Aquello entraba en contradicción con las enseñanzas de Sócrates, pero Antístenes, uno de sus alumnos le dijo: “Maestro, ¿cómo tú que nos aconsejas educar a nuestras mujeres, no educas a Jantipa, que es la mujer más inaguantable de cuantas existen, han existido y existirán?”, a lo que contestó Sócrates: “Porque los hombres que quieren ser buenos jinetes, no adquieren caballos dóciles, sino los más furiosos, ya que consideran que si pueden domar a los de tal naturaleza, con mayor facilidad manejarán los demás caballos. Sócrates tenía cincuenta años cuando se casó con Jantipa, de dieciocho. Aunque la historia la pinta como una fiera, lo cierto es que no debió ser fácil vivir con el filósofo, que se pasaba el día fuera de casa sin provecho, sin traer un sueldo a casa, siempre discutiendo para arriba y para abajo con un séquito de discípulos. Llegaba a casa de madrugada, a menudo borracho, siendo el hazmerreír del vecindario. No obstante, lo más probable es que hubiera amor entre ellos. Al menos Jantipa lo admiraba y lo quería. Tuvieron tres hijos, si es que dos de ellos no fueron de Mirto, la otra mujer en la vida de Sócrates. De éstos se sabe poco. Jantipa estuvo con el filósofo hasta el final. Sabía que se trataba de un hombre extraordinario. Su muerte la conmovió profundamente, y permaneció junto a él en los momentos difíciles. Ha habido partidarios de Sócrates, en esta relación tormentosa, pero también de Jantipa, cuya fama –según algunos- fue fabricada por los admiradores de su marido. Otros consideran que, siendo una mujer práctica, se irritaba mucho al ver a su marido dedicado a asuntos aparentemente improductivos en vez de generar unos ingresos mínimos al menos mediante la aplicación del intelecto. En cierta ocasión discutía con su esposo, a quien reprochaba que no había querido cobrar los diez dracmas que le ofrecían, estando ellos tan necesitados. En cuanto a los orígenes familiares de Jantipa, la mayoría descarta que perteneciera a la clase alta; más bien parece que fuera de la clase media baja. Se la describe rubia y fogosa. Debió recibir buena formación en la niñez. Por otra parte, no debió llevar bien la convivencia en la misma casa con otra esposa de Sócrates, Mirto. A pesar de que la bigamia no estaba reconocida por la ley, era tolerada. Por otra parte, Jantipa pudo mostrarse contraria a las exigencias libidinosas atribuidas a Sócrates; el filósofo había sido un mujeriego, además de mantener relaciones con algunos hombres, entre ellos uno de los atenienses más ilustres, el general Alcibíades. Por eo, cuando llegan a casa unos pasteles que éste había enviado al filósofo, la mujer los tiró de un manotazo. Sócrates lo aguantaba todo. En cierta ocasión, paseando con sus discípulos, dijo a Platón que le alcanzase una rosa blanca que había a un lado del camino; así lo hizo este último, que sin reparar en las espinas del rosal se lastimó la mano, quejándose por el contratiempo. Como antes Platón había estado criticando a su maestro por vivir con una mujer como Jantipa, éste le dijo: “Querido, ya sabes que las rosas pinchan, pero son hermosas; por eso me uní a Jantipa, ya que es preferible la belleza con dolor que la vida sin belleza”. Se dice que entre los problemas de la pareja pudo estar la afición de Sócrates por los efebos. Pero tanto la pederastia, como la homosexualidad eran prácticas aceptables. La pareja Jantipa-Sócrates representa dos actitudes ante la vida: la del filósofo que se rige por sus ideales y la de su esposa, la mujer práctica pegada a la realidad de la vida cotidiana. La historia posterior nos demuestra que la actitud vital de Sócrates, heroica, altruista, asomada al mundo de la pureza intelectual, acabaría triunfando. Aunque se dice que éste no escribió, que fue ágrafo y que Platón recogió su enseñanza a modo de amanuense suyo, sin embargo, la obra de Sócrates quedó por escrito durante algunos años tras su muerte, siendo Jantipa quien haciéndose cargo de ella nunca quiso entregarla a Platón, que ofreció enormes cantidades de oro por sus escritos. Es conocida la escena que montó en vísperas de la muerte de Sócrates, cuando el filósofo, condenado a muerte, se obstinó en no huir ni exiliarse, prefieriendo pasar sus últimas horas con sus amigos. Entonces Jantipa comenzó a golpearse el pecho, a gritar y a quejarse estruendosamente diciendo que el marido iba a morir y que nunca la vería ni a ella ni a sus hijos. Sócrates, que no soportaba el luctuoso espectáculo, dijo a Critón: “Por favor, que se lleven de mi presencia a esa mujer”. En definitiva, Sócrates nunca debió ser recomendable para compartir con él la vida diaria. Es probable que su esposa lo tildara de gandul. Tampoco su aspecto desaliñado atraía. Iba vestido en invierno igual que en verano, con el mismo quitón lleno de remiendos y manchas. Bebía hasta emborracharse y era tan desaseado, que Jantipa le reprochaba que no se lavase. No ganaba dinero y estaba ausente de casa días enteros. Jantipa llegó a presentar una denuncia contra él por abandono de sus deberes y lo llevó a los tribunales. Sócrates, en vez de defenderse, la defendió a ella ante jueces y discípulos, diciendo que como esposa tenía toda la razón, y que era una mujer buena merecedora de un marido mejor que él. Le absolvieron, pero volvió a las andadas y a sus costumbres no siempre inocentes, ya que no se limitaba a frecuentar a la hetera Aspasia, sino también la casa de Teodata, la prostituta más conocida de Atenas. Todos apreciaban su buen humor, no se ofendía, decía las cosas más complejas con las palabras más sencillas. Se paraba ante los puestos del mercado y decía: “¡Mirad cuántas cosas necesita hoy la gente!”. Jantipa no podía decir lo mismo, sino que se quejaba de no tener lo indispensable para vivir. Poseemos testimonios escritos de su carácter íntimo que envuelven su figura en un halo de humanidad. Sobreponiéndose al paternalismo con el que la trataba su marido, se mostró cariñosa y dulce, denotando con ello que la base de su vida conyugal había sido el amor y la admiración hacia su marido. Cuando Sócrates se tomó la cicuta, ella aparece con uno de los hijos pequeños del filósofo y Mirto, diciéndole: ”Marido, el día de hoy será el último en el que podrás hablar con tus amigos, y ellos contigo”, mientras sollozaba. Estas palabras han sido interpretadas por algunos como una burla final, entre venganza y reproche, pues Sócrates se había pasado toda la vida con discípulos y todo tipo de seguidores, con todos menos con la familia. En el momento de su muerte, Jantipa entró en la habitación y dijo: “¿No te indigna que te hayan condenado injustamente?”. Y él respondió” Mejor es así, porque ¿qué dirías si me hubieran condenado justamente?”. Luego añadió: “De todas formas también los que me han condenado a muerte lo están, pues la Naturaleza misma ha dictado contra ellos esa sentencia”. Un libro de emblemas muestra una ilustración de Jantipa vaciando un orinal sobre Sócrates, de Emblemata Horatiana ilustrado por Otho Vaenius, 1607. #Vida #Sócrates #Mujer0049
- Dolce & Gabbana em Shangai | ShanghaiDans MA CHÉRIE·20 de agosto de 2020欢迎开启Dolce & Gabbana “起筷吃饭” 第2弹。 今天让我们一起品尝西西里传统奶酪卷!觉得自己身在意大利? 不,你正在中国! #Dolce #Gabbana #Shangai #Shanghai0018
- Está a história acabada, e a boca cheia de marmelada!Dans HISTÓRIA·12 de maio de 2021UMA HISTÓRIA DE VEZ EM QUANDO! “Está a história acabada, e a boca cheia de marmelada!” OS CONTOS E AS CULTURAS LOCAIS Apresentam-se hoje mais uns contos recolhidos na região de Évora no início deste século, com a participação de Escolas, Centros Sociais e de Associações de Reformados do Concelho de Évora. Estes contos foram publicados em 2001 numa edição da Câmara Municipal de Évora: “Colecção de Contos Populares da Tradição Oral Moderna – Concelho de Évora”, no âmbito do Projecto Educativo ‘Estafeta do Conto – Quem conta um conto acrescenta-lhe um ponto’. Projectos estruturantes de intervenção sociocultural em que colocam na mesma plataforma de diálogo várias gerações, com a preocupação de criação de um objecto em comum, neste caso esta publicação. São variantes de contos que existem um pouco por todo o território alentejano e até mesmo nacional. Interessantes os apontamentos lexicais de cariz etnográfico que os contadores colocam nas descrições, podendo assim os contos populares contribuir para uma caracterização cultural dos territórios onde foram recolhidos. É esta a riqueza que ainda se pode alcançar com recolhas sistemáticas entre os mais idosos nas freguesias rurais e nos Centros Sociais e outras Associações. Assim o permitam os desconfinamentos pandémicos. Temos consciência que muito se perdeu mas que muito ainda se poderá salvar havendo para isso vontade e disponibilidades das pessoas e das instituições. FAZEMOS DESDE JÁ UM APELO-CONVITE: QUEM QUISER PARTILHAR UM CONTO TRADICIONAL, OUVIDO AOS PAIS, AVÓS OU OUTRAS PESSOAS CONHECIDAS, PARA ELE NÃO SE PERDER, PASSE PELO CONVENTO DOS REMÉDIOS / CENTRO DE RECURSOS DO PATRIMÓNIO CULTURAL IMATERIAL E VENHA CONTÁ-LO. TEMOS CONTOS PARA TROCA! Boas leituras e melhores recolhas! R.A., Évora, Maio de 2021. #Histórias #Marmelada0024
- National Portuguese Grande Lodge | (1882 | 2017)Dans HISTÓRIA·11 de outubro de 2017National Portuguese Grande Lodge | (1882 | 2017) Grande Loja dos Antigos Maçons | Grande Loja Nacional Portuguesa0022
- National Portuguese Grande Lodge | (1882 | 2017)Dans HISTÓRIA·11 de outubro de 2017National Portuguese Grande Lodge | (1882 | 2017) Grande Loja dos Antigos Maçons | Grande Loja Nacional Portuguesa #GLNP #Antigos #Maçons0042
- Vila do Conde | PortugalDans ATUALIDADE·1 de junho de 20180019
- Maçonaria: - O IRMÃODans ATUALIDADE·12 de julho de 2020Maçonaria: - O IRMÃO *O IRMÃO* É sabido que só os Irmãos de sangue possuem características comuns que conduzem ao afeto sólido e desinteressado, cultivando o amor familiar. Inexiste tratamento mais afetuoso que o de “irmão”; maçonicamente, já no Poema Regius, no ano de 1390, o mais antigo que se conhece, recomenda o tratamento de “caro irmão” entre os maçons. Fisiologicamente, os Irmãos provindos dos mesmos pais são denominados de “germanos”, que em latim significa “do mesmo sangue”. Na Maçonaria não há esse aspecto, porém, a Fraternidade (frater em latim) harmoniza os seres por meio da parte espiritual; diz-se que os maçons são Irmãos porque provêm da mesma Iniciação; morrem na Câmara de Reflexões para renascerem produzidos ou procriados por meio do germe filosófico que transforma integralmente a criatura, refletindo-se no comportamento posterior. A essência da Fraternidade é o amor; os maçons dedicam muito amor uns para com os outros; é essa prática que funde o sangue para que haja no grupo uma só criatura. O bem-querer, a tolerância e a Fraternidade dentro da Loja transformam o homem em criatura dócil, espontânea e fiel, apta a desempenhar a cidadania no mundo profano. A rigor, o amor fraternal deveria estender-se a toda a humanidade; no entanto, ainda não estamos preparados para isso. Breviário Maçônico / Rizzardo da Camino, - 6. Ed. – São Paulo. Madras, 2014, p. 209 #Irmão #Maçonaria00122
- Freemasonry: - Leading from the front!!! #Grande #Lodge #ConnecticutDans ATUALIDADE·11 de julho de 2020Freemasonry: - Leading from the front!!! #Grande #Lodge #Connecticut #Freemasons #July20200061
- Dans les « Degrés de Vengeance », le 9ème degréDans HISTÓRIA·25 de maio de 2018Dans les « Degrés de Vengeance », le 9ème degré de Maître Élu des Neuf pose bien des questions : - D’abord, pourquoi la punition des assassins arrive-t-elle si tard alors qu’Hiram est mort et enterré depuis longtemps ? - Et qui est cet inconnu qui mène Johaben à la caverne d’Abiram ? A-t-il un chien ou pas ? - Pourquoi un arc-en-ciel, un buisson ardent, une étoile brillante au-dessus de la caverne… mais une étoile noire sur le plateau du Très Souverain Maître ? - Et les symboles à l’intérieur de la grotte : une lampe, une fontaine et un poignard, que signifient-ils ? - Quant au geste de Johaben, s’agit-il d’un crime de lèse-majesté divine, d’un crime de lèse-majesté humaine ou d’un crime qui le lèse en particulier ? D’ailleurs, est-ce un crime, une vengeance personnelle, un acte de justice… ou une oblation, c’est-à-dire une immolation, un sacrifice rituel ? Et puis, comment s’inscrivent dans ce récit la loi du talion, la loi de proportionnalité, le droit de réparation et le droit à compensation ? - Ensuite, pourquoi Johaben fait-il toujours du zèle ? Pourquoi éprouve-t-il le besoin de couper la tête d’Abiram pour la rapporter à Salomon ? - Enfin pourquoi le roi, qui s’apprêtait à condamner le délinquant, lui a-t-il pardonné ? Simplement parce que huit autres Maître Élus des Neuf ont intercédé en sa faveur ? Faible motivation pour un monarque ! Est-ce bien la véritable raison ? Comme pour les autres questions, n’y a-t-il pas d’autres réponses plus initiatiques, qui se cachent derrière celles que divulgue le rituel ? C’est à les découvrir et à faire cette recherche ensemble que cette étude vous sollicite…00305
- Masonería - Feliz cumpleaños hermano Giuseppe Garibaldi, nacido un 4 de julio de 1807Dans HISTÓRIA·6 de julho de 2020Masonería - Feliz cumpleaños hermano Giuseppe Garibaldi, nacido un 4 de julio de 1807 #Giuseppe #Garibaldi #Hermano #Compleaños00116
- Ma Chérie - MODA - FASHION - Mensagem da Ana MarquesDans MA CHÉRIE·12 de setembro de 2020Ma Chérie - MODA - FASHION - Mensagem da Ana Marques Se gostar, partilhe o vídeo.Se gostar, ponha like na página da loja SEGREDOS-Women's no Facebook. #Moda #Mode #Fashion #Ana #Marques #Segredos0036
bottom of page