La « commémoration » des événements de mai et juin 1968 nous conduit à explorer les coulisses de ces deux mois de douce folie. Désordre pour les uns, exaltation humaniste pour les autres, il apparaît cinquante ans plus tard que l’esprit de mai a bel et bien rejoint les valeurs maçonniques dans un mouvement général d’ouverture, de liberté et de progrès